Référence : Intelligence sociale module 2
Difficulté : * (sur 5)
Téléchargement : immédiat
Ecoute : illimitée
Compatible : tous ordinateurs, iPod, iPhone, iPad et autres lecteurs mp3
Prérequis :
Objectifs : mettre en place les bonnes pratiques et développer l’état d’esprit permettant de faire des rencontres seul
Durée totale : 3h09mn
Taille du fichier : 182 Mo
Tarif : 150€ seul puis dégressif avec le nombre de séminaires commandés
Séminaires complémentaires recommandés : Intelligence sociale module 1, Etre un leader

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Jamais ce site n’a eu l’âge de la naïveté et des serments à la ta-ga-da-tsoin-tsoin prétendant que la réussite est en chacun de nous et qu’il suffit de « just do it ».

Car la réalité est souvent faite, à qui sait où regarder, de constats complètement imprévisibles, et celui-ci en est un : il existe des gens (je veux parler d’hommes, bien sûr, car pour les femmes c’est une toute autre sociologie) qu’il est impossible de pousser à faire des rencontres.

Pourquoi certains n’y arrivent pas…

… et n’y arriveront peut-être jamais

« And this loneliness won’t leave me alone »
Otis Redding, Sittin’ on the dock of the bay

Il y a des gens qui pourront être suivis par le meilleur coach / expert / sociologue / psychologue (rayez la mention inutile) du monde à chaque minute de leur vie et pendant des années sans que ne décolle vraiment leur vie affective et amoureuse. Et je pourrais en citer, des noms.

Ils auront acquis la capacité à faire des rencontres, mais la plupart du temps ces rencontres n’auront pas lieu. La nuance est de taille et il est important de bien la comprendre sinon vous n’aurez rien compris : acquérir la capacité à faire des rencontres, ça n’entraîne pas forcément comme conséquence que ces rencontres se réalisent dans la réalité.

Quel est alors l’élément manquant ? Car chercher le point commun (« pattern », diraient les anglo-saxons) à tous ces garçons c’est trouver la clé du problème.

Et la clé du problème des rencontres se trouve à 90% du temps dans votre (in)capacité à sortir seul, autrement dit à gérer la solitude.

La ville, c’est la solitude peuplée

En théorie (je dis bien en théorie), chacun évolue au milieu d’un réseau de gens qui tous lui veulent du bien, l’un garantissant ses affaires, l’autre ses amours, untel aidant pour ceci et l’autre pour cela mais tous ayant la fiabilité d’une montre suisse et le désintéressement d’un héros de roman.

C’est vrai, mais uniquement partiellement.

Car entre des moments (certes agréables) de la sorte, s’insèrent tout un tas d’autres – correspondant à des étapes-clés de la vie : déménagement, expatriation, ascension sociale, changement de cercle d’amis, etc. – qui se passent dans une partielle ou totale solitude. Alors, certes, comme la plupart d’entre nous habitons la ville (plus ou moins grande), cette solitude est toujours « peuplée », comme l’a souligné mon nouvel auteur préféré Camus dans ses Carnets. Mais peuplée ou pas, la solitude est trop souvent l’éteignoir de toutes vos ambitions de sorties, de séduction et – osons dire le mot – de drague.

L’intelligence sociale n’est pas d’attendre d’avoir un réseau de fou pour sortir, mais de faire avec ce qu’on a

Et ce qu’on a, parfois (souvent ?) c’est la solitude. Elle existe. Qu’elle corresponde à une réalité ou pas (que vous soyez entouré à cet instant précis ou pas), peu importe : c’est la sensation qui prime. Si vous vous sentez seul, alors vous êtes seul. Et dès lors que faire ?

Vous pouvez vous « fourrer » avec le premier venu (tactique de petites filles, toujours l’une chez l’autre au point qu’on se demande si elles savent encore qui est qui). Ou vous pouvez vous comporter comme un homme, c’est à dire

  1. faire avec,
  2. agir quand même,
  3. et sortir tout seul.

Si vous ne savez pas sortir seul, alors vous êtes handicapé socialement

Comment sortir seul ?

1 an vs 10 ans

J’ai passé la soirée d’hier (samedi) à Rome en compagnie de deux Ukrainiennes et (plus intéressant) d’un Grec émigré à Londres (vous suivez ?)

Interrogé sur les différences entre la vie à Athènes et à Londres, il m’expliquait qu’il avait fait plus de rencontres en 1 an dans sa ville d’adoption, qu’en 10 dans son propre pays, et ce en dépit de l’obstacle de la langue et du fait qu’il repartait de zéro, ce qui l’a « condamné » plus d’une fois à sortir seul. Et cette « condamnation », il en est maintenant persuadé, s’est avérée une bénédiction.

Savoir gérer la solitude et sortir seul est (paradoxalement) la clef de l’épanouissement social

Parmi ce que vous allez apprendre dans ce séminaire

  • sortir seul : où ? comment ?
  • comment trouver les endroits qu’on aime ?
  • l’état d’esprit indispensable pour gérer les moments de solitude
  • courtoisie indispensable de celui qui est seul
  • les meilleurs conseils des expat’s pour se faire un réseau, vite
  • exploiter à 200% le circonstanciel
  • que ne surtout pas faire si vous êtes sorti seul
  • gérer les couples quand on est seul
  • l’intérêt des relations superficielles (pourquoi vous devez en avoir quand même)
  • comment franchir les barrières sociales et nouer des contacts hors de votre milieu d’origine (très important à moins d’être – comme je l’ai entendu récemment dans la bouche d’un client d’un très chic magasin de la Rive Gauche – « né dans le cachemire »)
  • les principes de la « street session » sont-ils transférables à l’abordage des amis hommes ?
  • comment concilier sorties seules et travail salarié lorsqu’on travaille beaucoup ?
  • liste loin d’être exhaustive…

Vos bénéfices à suivre ce séminaire

  1. assumer de sortir seul, c’est sexué
  2. affrontez de face les inévitables moments de solitudes et développez votre courage et votre force mentale en brisant vraiment dans vos routines
  3. ne dépendez que de vous. Sortez de bisounours-land, tous vos amis ne vous veulent pas du bien, loin de là ! Je connais bon nombre d’hommes qui deviendraient blancs comme des linges s’ils entendaient ce que leur « amis » pensent réellement d’eux en leur absence. L' »entraide » tant rêvée, la camaraderie de roman, tout ça n’est ni « naturel » ni « évident », a fortiori lorsqu’il est question de séduction. Chaque seconde dans le monde des centaines (milliers ?) d’ « amis » se sabrent mutuellement dans le dos pour des questions de femmes, d’ego ou d’argent. Vous ne me croyez pas ? Encore une fois, sortez de bisounours land et apprenez qu’en matière de séduction vous ne devez dépendre que de vous.
  4. que vous ayez essuyé les bancs de l’école jusqu’à 16 ans ou bien jusqu’à 30, nos séminaires sont les cours les plus intéressants auxquels vous ayez assistés, et vous le savez

Témoignages (extraits du forum)

Témoignage 1

« Je me suis rendu compte sans grande surprise que je faisais quelques unes de mes sorties seul dans les conditions les plus difficiles (petite ville, pendant le weekend, aux mauvais endroits). Tellement difficiles que même Stéphane ne conseille pas vraiment ce type d’expérience.

Voici donc en ce qui me concerne les quelques perles:

  • les scénarios. Je me suis rendu compte qu’un de ceux que j’avais utilisé et trouvé génial sur le moment (d’ailleurs évoqué par un participant pendant le séminaire) donnait une image neutre de moi et était risqué pour la suite. Je n’ai pas pu m’empêcher de sourire quand j’ai entendu celui de Stéphane en me disant tout fort « Ah oui quand-même… »
  • l’économie des lieux de sortie. Ce concept a reflété complètement quelques unes de mes expériences, et je n’avais pas réussi à mettre le doigt dessus. Maintenant je sais quels lieux éviter, chercher, et…
  • comment les trouver. Les conseils simples il est vrai, mais personnellement, je n’avais pensé qu’à un seul d’entre eux. Je choisissais en fait mes lieux en fonction d’un mauvais critère. En plus les conseils, sont faciles à appliquer, bien que certains demandent un certain investissement en temps (pas en argent du tout). Mais de toute évidence, une fois qu’on a fait ce travail et qu’on sait donc où aller, on ne peut pas avoir peur de sortir seul, c’est impossible, puisque la pression sociale sera au minimum. En bref, je sous-estimais la problématique du lieu, qui en fait conditionne énormément de choses (si ce n’est tout), et ça j’étais loin de m’en douter. Et évidemment je ne fais pas référence au style/design, du lieu, ni des gens qui le fréquentent, ce serait trop basique »

Témoignage 2

« Bien longtemps que je n’avais pas participé à un séminaire. Souhaitant m’orienter vers une expatriation dans un avenir très proche, ce séminaire m’intéressait fortement en touchant de plein cœur ma problématique et mes interrogations du moment.

La question étant de voir les choses sous un angle nouveau et de rendre consistant ce sentiment de légitimité à être/sortir/se retrouver ponctuellement seul, tout simplement.

A la question de savoir si j’y ai trouvé mon compte, je répondrai en citant une partie des thèmes qui ont fait tilt:

  • Les concepts de la solitude et du dépeuplement (pragmatiques et non wikipédien) et les leviers opérationnels sur lesquels travailler pour les gérer et sortir de la boucle (l’aura négative) dans laquelle ils sont liés.
  • Les scénarios de résistance aux pressions sociales, pressions évidemment différentes en fonctions des lieux, des heures et des circonstances.
  • Des conseils pour défricher les nouveaux endroits: en quoi est-ce fondamental de devenir un défricheur, qu’est-ce qu’un bon endroit pour sortir seul?
  • L’état d’esprit pour gérer les moments de solitude ponctuelle (une soirée) et comment gérer les périodes de dépeuplement plus prolongés (expatriation).

Bref, comme d’habitude, de la qualité et du contenu qui ouvre de nouvelles perspectives. Merci Stéphane »

16 commentaires

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  • Je suis déjà sorti seul et à la fin, je me sentais encore plus seul.

    Quand on voit d’autres mecs accompagnés et qu’on se voit seul comme un con alors qu’eux n’ont pas eu à s’humilier de la sorte, ça nous renvoie à la réalité.

    Quand on ne plait pas aux autres (physique, attitude inconsciente) il ne faut pas se forcer; tout le monde n’est pas fait pour être hyper-social.

    Et quand je dis que je sortais seul, j’abordais les gens, groupes de filles etc. mais tout ça, c’est du bull-shit, du fantasme.

    Aborder les gens, c’est AGIR VERS L’EXTERIEUR. Les actions vers l’extérieur sont celles qui touchent à notre être profond et le sens que nous donnons à notre vie.

    Sortir seul juste pour ne pas se sentir seul n’a aucun sens; premièrement, cela mobilise de l’énergie et réoriente des énergies subtiles vers un but totalement dénué de sens venant en contradiction avec nos aspirations profondes.

    Et de toutes manières, en France, la vie affective et amoureuse est un piège à con; dites juste à une femme que vous voulez vivre chacun chez soi et ne pas voir de gosses et vous verrez si elle va rester.

    Ici, elles veulent vous occuper avec le travail (qui financera le crédit-maison) et les gosses pour faire ce qu’elles veulent avec l’argent que vous gagnez en travaillant dur.

  • vous devriez faire un seminaire sur les divers endroits de rencontre et comment eviter les endroits pourris. par experience a mes depens ce sujet est tres important. il suffit pas de sortir n’importe ou ou draguer n’importe ou, meme avec brio.
    en plus ce sujet devient plus important avec l’age, etant donne que les endroits se rarefient

  • en fait il faudrait plutot donner ce conseils aux nanas. je connais des femmes qui sont celibataires car elles sortent pas ou peu, car elles osent pas sortir seules. pour les femmes il y a certes un risque physique (viol etc) mais c’est quand meme exagere (de plus gerer ca ca s’apprend et les nous les mecs on est plus exposes a la violence lors des sorties)

  • Le wingman parfait existe, le problème c’est que si son « niveau » est bien meilleur que le vôtre, pourquoi voudrait-il sortir avec vous et qui plus est vous mettre en valeur? A moins d’être un ami de longue date ou de l’engager comme coach, je vois pas :p

  • Séminaire très intéressant, donnant des clefs parfois contre intuitives mais comme souvent ce sont là les meilleures

  • Vraiment un bon séminaire! Il permet de voir le verre à moitié plein et fait un bon état des lieux des armes qui sont à notre disposition! En période de doute (me concernant) il permet de relativisé notre situation et de continuer sur la voie que l’on a choisi d’emprunter et qui s’avère être royal!

  • Sortir oui mais pas plus de 20% des moments libre ( genre le dimanche en fin d’apres midi ou le vendredi/samedi soir quand tous les amis partent de boite/bar), en plus l’amitié c’est bon pour la santé.
    Etre tout le temps seul, c’est chiant à mourir…

  • Je suis ce que fait Stéphane depuis quelques années déjà. Comme un vin bien assemblé, il se bonifie au fil du temps. Son dernier ouvrage est un nectar de simplicité et de bon sens.

    Les méthodes de séduction n’expliquent pas tout. Elles éludent notamment un principe fondamental en matière de séduction, plus connu dans le domaine militaire et de gestion de crise: le principe de friction. Cette force autonome qui conjugue d’innombrables facteurs indépendants, ce qui rend si difficile ce qui semble aisé et transforme en entreprise hasardeuse, une activité d’interaction sociale presque banale (la séduction) apparemment réductible à l’interaction logique d’éléments connus.

    Mentaux ou matériels, produits par sa propre organisation ou imposés par l’environnement extérieur, les facteurs imprévisibles et aléatoires sont rassemblés sous ce concept de friction, cher à nombre de stratèges.

    On y retrouve les pulsions perturbant le fonctionnement rationnel de l’esprit humain: la peur et ses effets par exemple. Par son influence tant psychologique que matérielle, cette friction constitue une contrainte majeure pour la liberté d’action et l’application du principe de volonté qui demeure pourtant essentiel pour la surmonter, à travers la force du caractère et de l’esprit.

    Tout devrait être simple en séduction. Mais la plus simple des choses se révèle souvent très difficile. Les obstacles s’accumulent et finissent par produire une sorte de friction qui est inconcevable tant qu’on n’a pas l’expérience de la vraie vie.

    De menus incidents sans nombre, du genre de ceux que vous ne pouvez pas réellement prévoir, se combinent pour diminuer le niveau général d’efficacité de telle manière que l’on ne parvient jamais au but fixé.

    Ce concept de friction est le seul qui corresponde à ce qui distingue la vie réelle de la vie sur le papier (ou de votre écran tactile).

    Agir dans la vraie vie, c’est se mouvoir dans un milieu qui rend tout plus difficile.

    En regardant de plus près la définition du courage (Wikipedia), on découvre qu’il s’agit d’un trait de caractère (tiens donc: caractère, volonté, esprit…friction). Qu’il permet de surmonter la peur pour faire face à un danger. Le terme peut aussi être employé pour exprimer l’endurance, notamment à l’égard de la douleur (surtout émotionnelle).

    Le courage est à distinguer d’autres notions à connotations plus péjoratives, comme l’audace, la témérité ou la manipulation, pour lesquelles le moteur de l’action n’est pas la peur, mais le désir ou l’orgueil entre autres.

    Le courage authentique requiert l’existence de la peur, ainsi que le surpassement de celle-ci dans l’action. Lorsque le danger est confronté sans peur, on parle plutôt d’« assurance » ou de façon plus péjorative, d’inconscience, notamment lorsque la situation est manifestement sous-observée.

    Le courage a longtemps été considéré comme la principale vertu masculine. Mais il demande un minimum d’efforts pour s’inscrire de manière durable dans notre vie.

    «Se précipiter au cœur d’une bataille et tomber aux champs d’honneur, dit un prince du Clan Mito, est assez facile et n’excède pas les moyens du plus simple des rustres. Mais le vrai courage est de vivre quand il faut vivre, et de mourir seulement quand il faut mourir ». Son contraire est la lâcheté couplée de résignation et de fausses excuses.

    Sur les dizaines de milliers de lecteurs que compte probablement Stéphane, peu seront ceux qui oseront porter la coupe à leurs lèvres et goûter le vin qu’il offre à boire.

    Quel dommage, ou peut-être tant mieux pour ceux/celles qui le font. Un nouveau monde s’ouvre alors à eux, ainsi que la possibilité (enfin) de tendre la main pour prendre de la vie ce qu’elle a de meilleur à offrir.

    Jetez vous à l’eau: vous vous rencontrez compte que sa température, loin d’être glaciale, est tout simplement merveilleuse.

  • ça fais longtemps que je ne suis pas venu sur ce site et de mon expérience je suis complétement d’accord.

    Mes meilleurs rencontres je les ai faites seul et il n’y a aucun mal à sortir seul contrairement à ce que peuvent croire beaucoup de gens.

    Mais comme disait Nietzsche :

    « Peu de gens sont faits pour l’indépendance, c’est le privilège des puissants. »

  • Bonjour,

    Pardonnez mon ignorance mais comment peut-on acheter la version audio du séminaire?

    Un français de l’étranger.

  • Tout ce que je fais, je le fais seul. La compagnie des autres est souvent éphémère et toujours choisie.

    Il y a certes des moments où la solitude pèse, mais ils ne sont pas très longs, car je trouve toujours quelque chose à faire de ma solitude. Et de toute façon les désagréments que la solitude peut provoquer par moments sont beaucoup moins lourds que ceux d’une compagnie dont on voudrait se débarrasser au plus vite.

    C’est vrai que celui qui ne peut pas être seul est un handicapé, mais celui qui aime la solitude est un être libre et créatif car, comme disait Marguerite Duras, la solitude est CE sans quoi on ne peut rein faire.

  • En voilà un sujet surprenant et passionnant.
    Sortir seul ? jamais osé, bien heureux de rester dans le confort des amis auxquels je n’ai rien à prouver.
    Au risque de passer pour un gland, je n’y ai pour ainsi dire jamais vraiment songé… et je ne dois pas être le seul.
    Je pense venir au séminaire (seul, ça compte ? :) ) parce que savoir faire ça doit effectivement donner un bon coup de boost à une vie sociale un peu pantoufle, et est un bon défi à se lancer.

  • ça fait 2 ans que j’habite dans la même ville (en partant de 0) et je ne parviens pas à me construire un cercle social digne de ce nom.

    Alors souvent, pendant la semaine, je sors seul, pour me récompenser de ma journée. ça m’est aussi arrivé quelques fois le weekend. Je fais des rencontres environ une fois sur deux, mais j’aimerais beaucoup optimiser tout ceci, d’autant plus que mon objectif est de changer de ville pour la fin de l’été prochain.

    J’ai du coup un avis relativement évolué sur la question et serai content d’écouter de séminaire.

  • Parmi tous les « potes » que j’ai connus et qui m’ont déçu, *aucun* n’était capable de sortir seul. D’ailleurs, c’est entre autres à ça que je les détecte désormais.

    Faites vous dépister.